En un minimum de 10 lignes. Vous devrez décrire le caractère de votre personnage, veillez néanmoins à se qu’il ai des qualités ainsi que des défauts

Ici, vous décrirez les relations de votre personnage en 5 lignes, si vous êtes un poste vacant ou un scénario, veuillez y mettre tout vos liens mais aussi comment votre personnage se comporte en société.

La naissance est souvent le fruit de l’amour entre deux parents. Certaine fois cela n’est qu’une erreur ou un accident. Mais moi je suis une enfant désirée. C’est une chose que j’ai su dès mon enfance tellement mes parents étaient plein d’amour et protecteur envers moi. Mon histoire commence comme toutes les mêmes histoires ; par « il était une fois. » Alors, autant commencé par le commencement. Je suis née le 15 septembre 1991 dans un petit état du sud des Etats-Unis d’Amérique. Quand j’arrivai au monde mes parents n’avaient aucune idée du prénom que j’allais pouvoir avoir. Ils n’arrivaient pas à se décider. Chacun ayant sa propre idée et sa propre envie. Ce fut ainsi que je poussai mon premier cri. Mon père, fut, tellement ravie qu’il expliqua a mère qu’il venait de trouver le prénom parfait pour ce nouveau-né : Poesy. Mon père avait toujours su trouver les mots nécessaires pour convaincre ma mère. Et encore une fois, son charme opéra.

Ma mère accepta. Trois ans plus tard, j’ai une petite sœur. Elle porta le nom d’Ellyxir. Elle était importante à mes yeux mais en même temps je lui en voulais d’attirer l’attention de mes parents. Je pris quelques kilos à cause de la naissance d’Ellyxir et ma mère inquiète m’emmena voir un pédiatre qui la rassura et lui dit que cela s’arrangerait avec le temps. C’est ce qui se passa. Puis un soir, alors que l’orage faisait rage sur Los Angeles Nous avions quitté le petit état de l’Ohio et nous nous trouvions maintenant à Los Angeles. C’est ainsi que mon père nous annonça notre premier déménagement dans un pays de l’Amérique de Sud. La Guyane. Nous y restâmes deux ans où je grandis entourée de personne de différentes couleurs et différentes origines que moi. Je commençai à m’y plaire quand nous dûmes rentrer à New-York cette fois. Et cela recommença à chaque nouveau voyage. Cela dura jusqu’à l’âge de mes 16 ans. Cette fois, mon père avait été muté en Afrique. Cette mutation fut dure pour moi que n’importe quelle autre car je ne voulais plus partir. J’étais bien où j’étais. J’avais des amies, de bonnes notes a l’école et je ne voulais plus recommencer a vivre ce que chaque déménagement m’obligeaient à laisser derrière moi. Car il faut se rendre à l’évidence. On pense réussir à garder contact avec les personnes qui comptent ou qui ont compté pour nous et pourtant ce n’est pas vrai. Au bien sur cela va durer un temps mais jamais toute la vie, comme, quand on se l’imagine.

Même si c’est un mauvais souvenir pour moi je vais faire un effort pour vous en parlez. Une fois arrivée là bas, j’eu quelques coups de blues dès le début. Je rencontrai quelques personnes dont l’homme qui allait partager ma vie pendant près de six mois. Il n’était pas beau dans le sens du terme mais il avait un charme dont seul lui savait utiliser. Il avait trouvé les mots pour m’approcher et me faire un temps soit peu aimer l’endroit. Ma sœur vivait sa petite vie tranquillement, entourée de sa guitare et de son ordinateur, d’où elle restait connectée quasiment 24/24. Six mois après, ce fut la véritable descente aux enfers pour moi. L’homme que je considérais comme celui de ma vie me quitta brusquement. Il avait eu le courage de me dire qu’il avait rencontré quelqu’un d’autre. Puis se fut autour des personnes que je considérai comme des amis qui se mirent à me harceler. Ils me menacèrent pour certain et réduisirent la confiance que mes parents avaient mis en moi en un clin d’œil. Je n’étais plus que l’ombre de moi-même. Même au lycée, j’étais humiliée, rabaissée et victime d’insultes. Bref, ce n’était pas la panachée. Puis la dépression arriva. Je maigris énormément.

Déjà que je n’étais pas très épaisse a cause de la chaleur ambiante du pays, je n’arrivai pas a manger. Mes parents ne savaient plus comment faire pour m’aider. Ils me disaient sans cesse de laisser courir, de ne pas répondre aux attaques. Et moi je leur en voulais. Oui je leur en voulais d’oser me faire croire que j’étais faible. Que je ne devais pas leur répondre car ils comprendraient par eux-mêmes. Mais cela ne s’est jamais produit. Ensuite les parents s’y sont mis. Me traitant comme une moins que rien. Le fait de revenir sans arrêt dans cet endroit crée en moi des angoisses, des crises de paniques. Je n’arrivais à me détendre que quand je quittais l’endroit où je vivais. Puis je compris que la vie ne m’apporterait plus rien. Alors un soir, je pris une décision. Une décision qui allait changer ma vie. Ma famille n’était pas là. La bouteille d’alcool et les médicaments se trouvaient au premier. Cela fut rapide et bref. Mais elle échoua. Ce fut mes parents qui me sauvèrent la vie. Après l’hôpital, je fus rapatriée, à New-York, le temps que je redevienne une adolescente normale. Je vous passerais le reste des détails mais il me fallut pratiquement 1 an pour reprendre une vie normale. Pour cela mes parents m’offrirent une croisière pour m’aider à reprendre une vie sociable. Mais cela va être un véritable exploit pour moi. La confiance ne sera pas facile à avoir et je risque plus d’une fois d’être méchante.