Ce jour, il est pour toi ! Enfin, à partir de 11heure...[Pai

Charlie avait passé toute sa nuit et sa matinée avec une femme dont il ignorait le nom. Elle avait pourtant essayé de le lui dire plusieurs fois mais il l’avait toujours fait taire en disant :
-Ne - Gâche pas tout en parlant Bébé.
Il s’en fichait de son nom à cette fille. Il ne voyait aucun intérêt à retenir un nom comme Jessica ou Brenda. Il n’avait nullement l’intention de la revoir ni de prendre son numéro de Gsm ou autre chose. Il avait passé une nuit fabuleuse avec elle mais, celle qui occupait son cœur n’était pas elle. Enfin, peut-on dire que quelqu'un soit dans le cœur de jeune Dekker ? Non. On va dire qu’elle occupe son esprit et la plupart de ses désirs.
C’est vers onze heures qu’il demanda à la jeune femme de se rhabiller. Lui, il s’habilla d’un pantalon blanc et d’un veston noir. Quand la jeune femme fut dehors, il sortit lui aussi et claqua la porte de chêne.
-Ou allons-nous ? demanda-t-elle quand elle vit que Charlie dégainait ses clés de voiture.
Il se retourna pour la regarder. Il rigola un court instant.
-Nous ? Haha, tu pensais vraiment que tu allais venir avec moi ? Bon, je te laisse et si tu n’es pas partie à mon retour j’appelle la police. Il entra dans sa grosse BMW cabriolet grise qu’il n’avait que depuis peut tout en regardant la jeune femme s’en aller les larmes aux yeux. Il sortit son BlackBerry de sa poche et envoya ce SMS :

De : Charlie Dekker
A : Paige A. Clarkson

Hey you !

Viens au centre commercial maintenant devant la boutique CHANEL. J’ai une surprise pour toi… Pas d’excuses, tu viens ! Smile

Il démarra sa voiture pour se rendre à l’endroit de rendez-vous qu’il venait de fixer. Il avait eu une petite envie soudaine de passer du temps avec Paige. Quelques minutes plus tard, il arriva dans le centre commercial. Il était devant le magasin. Il regarda sa montre Rolex. 11h23. Il s’étira et s’assit sur un banc qui se trouvait en face de la boutique.

Après cette soirée plutôt arrosé ou je m’étais bien amusé avec Amy et Rachel, je partis dans notre chambre. Les filles étaient restées s’amusant encore, mais moi j’étais vraiment fatigué. Dés que j’arrivai je m’affalai sur mon lit, ne cherchant pas à me mettre en pyjama ou bien me brosser les dents. Je retirai juste mes escarpins et m’endormis aussitôt. Je me réveillai ensuite le lendemain doucement entendant les filles parlaient. Mes colocataires étaient déjà debout, parlant de tout et de rien. Je mis un coussin sur ma tête essayant de me ré endormir, mais impossible. Je les rejoignais donc prenant au passage un médicament contre le mal de tête et une tasse de café. On discuta de nos histoires parlant de nos aventures de la semaine comme les coups de cœur ou bien les prises de tête.

Vers 10 heures, je reçus un message de Charlie. Je le lis étonné de ce qu’il venait décrire, me demandant ce qu’il pouvait bien comploté. Je lui répondis brièvement.

« D’accord, on se rejoint la bas alors »

Je filai donc à la douche pour être plus en forme, ce qui me fit du bien et me réveilla d’avantage. J’en sortis une vingtaine de minute plus tard, et alla ensuite m’habillé. Je m’enfilai une robe rouge, et mis ensuite mes escarpins noirs. Je retournai dans la salle de bain pour me maquillé. Je pris ensuite mon sac qui était a l’entré, et sortis de la chambre. Je montai dans ma voiture et conduis jusqu’au centre commerciale.

Une fois entrée à l’intérieur, je me fis accoster par un homme surement a peine plus âgé très charmant. Je le laissai parlé, me complimentant ce qui est toujours bon à entendre. Puis au bout de dix minutes, en ayant marre je l’envoyai promené ce qui fit mal a son ego surement. J’arrivai ensuite a la boutique Channel ou je vis Charlie m’attendre devant. Je me dirigeai vers lui le sourire aux lèvres.

Tu m’explique ce qu’on fait la ?

Paige était enfin arrivé. Il la regarda venir vers lui sans se lever de son banc. Elle était assez appétissante comme toujours. Il ne se leva qu’au moment où elle eu prononcé les quelques mots qu’il voulait entendre.
« Tu m’explique ce qu’on fait la ? »
Charlie se leva en silence et déposa un baiser sur les lèvres de Paige.
-Ce qu’on fait là ? Et bien, figure toi Paige que ce matin j’ai eu une petite envie de te voir ! Ca fait tellement longtemps qu’on a plus passé un petit moment ensembles…
Il fit une brève pause le temps de lui faire un sourire en coin. Il savait que la suite de la phrase allait plaire à la jeune femme. Il reprit lentement, comme pour donner un certain suspens.
-Je me disais que si tu voulais, on pourrait faire les boutiques pour que moi et toi on se fasse beaux pour aller a… A la Venus Night ! Tu as surement entendu parler de la nouvelle boîte de nuit Apollon Drive In ? Et bien, devine qui a des places pour la soirée d’ouverture de la boîte ? C’est Dekker ! Avant que tu me saute dans les bras, je tiens à te dire que beaucoup de célébrités seront présentent et surtout que je n’ai que deux places donc, si tu veux amener une de tes amies et bien, c’est raté ! Tu devras passer toute une soirée avec moi… Et, même la nuit si le cœur t’en dit !
Il avait un sourire jusqu’aux oreilles. Là, il avait son petit aire charmeur qui en ferait craquer plus d’une. En parlant de femmes, la vendeuse de Channel le dévorait des yeux.
-Si tu permets, avant de passé chez Jimmy Chou et Channel j’aimerais aller chez Hugo Boss et Ralph Lauren. Après, ma carte de crédit est a toi !

Arrivé devant lui, il se leva déposant ses lèvres contre les miennes après que je lui ai demandé ce qu’on faisait ici. Je l’écoutai parler tout en le regardant avec un petit sourire intriguée. Il me dit qu’il avait envie de me voir car ca faisait longtemps qu’on ne s’était pas vu. J’allai lui répondre mais il reprit la parole m’annonçant que de bonne chose. Il voulait qu’on fasse les boutiques pour ensuite finir tout les deux la soirée dans la nouvelle boite de nuit qui faisait son ouverture ou il avait eu des pass, et ou plusieurs célébrités allée venir. Après Charlie me dit que si je voulais on pouvait même finir la nuit ensemble ce qui me fit échappé un petit rire. J’allai ensuite dans ses bras heureuses de toutes ces bonnes nouvelles, puis aussi de le revoir. Malgré tout ca, il m’avait manqué par pour toutes les choses superficielles, mais pour lui. Sa présence m’avait manquée. Ca faisait un bout de temps que je n’avais pas eu de ses nouvelles.

J’accepte avec plaisir Charlie, mais pour ce qui est de la fin de la soirée on verra ca plus tard.

Je m’approchai de lui, lui souriant et l’embrassa tendrement. Puis je rompis le baiser l’écoutant à nouveau parler. Il me dit qu’il voulait d’abord passer dans ses magasins avant d’aller dans les miens. Je lui souris de nouveau.

Oui si tu veux, ca ne me dérange pas, et puis c’est avec ta carte qu’on fait tout ca donc a toi l’honneur.

Charlie mit son bras autour de l’épaule de Paige puis, ils se mirent en route vers le magasin Ralph Lauren qui se trouvait à une dizaine de mètres d’eux. Ils passèrent devant un bijoutier et devant Gucci s’en s’y attarder, ça ils le feraient juste après qu’il se saurait trouver une tenue. Charlie ressentait une certaine euphorie d’aller chez Ralph Lauren. C’était du prêt-à-porter et lui n’avait que l’habitude de porter du sur mesure. Il voulu le faire remarquer à Paige.
-Tu sais, ca fait longtemps que je n’ai plus acheté un vêtement dans un magasin de prêt-à-porter ! Mais, je peux avouer que c’est bien plus sympathique de se rendre au magasin que de faire venir un grand couturier Italien dans mon appartement ! Enfaite, je voulais commencer par m’acheter mes vêtements car je sais qu’avec toi ça va prendre un peu plus de temps et que je ne veux pas arriver comme un clochard vêtu d’une collection de l’an passé à cette fête. Tu vois, je représente les Dekker donc…
Il s’arrêta de parler. Il venait de ressentir quelque chose d’étrange, ou plutôt il venait de ne pas ressentir la sensation qu’il avait à chaque fois qu’il se vantait. Cette sensation qu’il avait à chaque fois, il aimait la ressentir mais là bizarrement il ne l’avait pas ressentie. Comme si il savait au fond de lui que devant Paige, cela ne servait à rien. C’est en très peu de temps qu’il choisi sa tenue. Une veste en cuir noir avec une chemise rose très pâle le tout avec un jeans noir. Ses chaussures, il les avait déjà commandées à son cordonnier personnel. Il ne trouvait jamais de bonnes chaussures dans le prêt-à-porter c’est pour cela qu’il préféra ne pas prendre le risque de ne pas avoir de chaussures pour la soirée. Il sortit de la cabine d’essayage pour se montrer à Paige ainsi qu’au vendeur.
-Tu trouve comment ? Si t’aime, on peut partir.

Je savais qu’il appartient a une famille fortuné et dont la façon dont il le montre en s’habillant ou bien la manière qu’il avait de parlé ca ce voyait. Je n’avais rien contre. J’y étais habitué et d’ailleurs moi aussi je faisais partis de cette classe, mais le montré peut être moins que lui dans ma vie quotidienne. Je n’étais pas comme je le voyais dans toutes ces soirées mondaines, les petites filles à papa prétentieuses qui ne voient que par leurs argents.

On entra dans le magasin après que je lui ai confirmé qu’on pouvait d’abord allée dans les sien pour que si jamais on mettait du temps pour me trouvé une robe que lui ne soit pas sans rien au final. Je le laissai choisir sa tenue et lorsqu’il partit les essayés, je m’assis sur l’un des sièges l’attendant. Il en sortit quelques temps après, très classe. Il portait une veste en cuir noir, avec une chemise rose très pale et un jeans noir. Il me demanda comment je le trouvais. Je me relevai et tourna autour de lui voyant que cette tenue lui allait parfaitement bien.

Ca te va à merveille. « Je lui souris et m’approche de son visage avant de déposé mes lèvres contre les siennes » Tu es très sexy comme ca.

Je lui souris de nouveau, puis il partit se rhabillé. Il alla ensuite encaisser ses achats, et on sortit du magasin. On marcha main dans la main jusqu'à la boutique Channel. On y entra par la suite, et j’allai voir la dernière collection. Je trouvai plusieurs robes qui me plaisaient assez. Je me dirigeai ensuite dans la cabine d’essayage pendant que lui m’attendait. Je revins avec une première robe noire à bustier qui m’arrivait au niveau des cuisses, ni trop longue, ni trop courte. Je sortis de la cabine et tourna sur moi-même le regardant.

Alors comment tu me trouve ?

Paige donna son accord pour la tenue qu’il avait choisi. Elle ajouta tout en l’embrassant « Tu es très sexy comme ça. » Quand elle eut prononcé ces mots, Charlie sourit. Elle lui faisait vraiment tourner la tête. Il lui rendit son baiser puis paya sa tenue. Le vendeur l’emballa soigneusement dans un sac qu’il referma avec un ruban couleur d’or. Charlie pensa : Pourtant, ce n’est pas très cher, pourquoi l’emballe-t-il avec tant de précautions ? Il garda cette réflexion pour lui. Ils sortirent du magasin main dans la main et ils se dirigèrent vers le grand magasin d’un blanc éclatant, la boutique Channel. Paige saisit quelques robes et s’engouffra dans une des cabines d’essayage. Pendant se temps, Charlie jetait un coup d’œil discret aux autres vêtements en l’attendant.
-Si tu ne trouve rien qui te plaît, on peut aller à Prada ou Gucci.
Elle sortit avec une robe noire très classe, mi courte, mi longue. Elle se tourna tout en regardant Charlie pour connaître son avis sur cette robe. Elle lui demanda comment il la trouvait.
-Comment je te trouve ? Parfaite ! Je devrais faire gaffe de ne pas me faire piquer ma cavalière !
Il sourit franchement. Paige était une femme très belle. Il aurait été fier de la présenter à sa mère si seulement elle avait encore été en vie. A son père, qui était pourtant lui bien en vie, il n’y pensait pas une seconde. Son paternelle serait encore capable de la traiter comme une prostituée. Charlie ne voulait surtout pas infliger quelque chose comme ça à Paige. Il chassa ces pensées de sa tête pour se concentrer sur Paige.

J’avais enfilé la première robe que j’aimé bien et alla ensuite la lui montré. Je tournai autour de moi-même, lui demandant si elle m’allait bien. Il répondit qu’il me trouvait parfaite, et qu’il avait intérêt à faire gaffe si il ne voulait pas qu’on lui pique sa cavalière, ce qui bien entendu me fit rire. Je l’embrassai tendrement pour le remercier de son compliment et lui dit.

Ne t’en fais pas, même si Johnny Depp voulait me réquisitionner je ne resterais qu’avec toi. Il n’y aura que toi qui m’importe lors de cette soirée.

Je lui souris, pensant vraiment ce que je disais. Il me sourit à son tour, puis je le vis assez songeur, dans ses pensées. Je me demandé bien a quoi il pouvait bien réfléchir.

Tu es sur que ca va ?

Je le regardais assez intriguée, cherchant à le comprendre même si ca pouvait être difficile étant donné que je ne lis pas dans les pensées des gens. Je partis ensuite dans la cabine essayant cette fois si une robe de couleur rouge, qui était bien ajusté a mon corps pour que l’on voit bien mes formes féminine qui me donné un atout. Je sortis de la cabine, et retourna vers lui.

Et celle-ci elle me va bien ?

Paige le remercia de son compliment avec un tendre baiser déposé sur ses lèvres. Elle le vit réfléchir. Elle lui dit « Tu es sur que ca va ? » Il hocha la tête puis se reconnecta avec Paige. Elle était rentrée dans la même cabine d’essayage pour enfiler une magnifique robe rouge, moulante qui la rendait très sexy. Charlie écarquilla les yeux en la voyant sortir. Elle lui dit :
« Et celle-ci elle me va bien ? »
-Heu…
Il racla sa gorge.
-Enlève ça, Paige. Sil te plaît. La robe est magnifique et elle te va à merveille mais, si tu mets cette robe ce soir, je ne pense pas que je pourrai me contenir.
Il s’était rapproché d’elle à la fin de sa phrase. Il était à quelques centimètres d’elle. Il avait son nez contre le sien et il regardait face contre terre. Il avait parlé sérieusement. Ce n’était pas simplement pour faire un compliment à Paige qu’il avait dit cela. Il n’avait pas envie de tout gâcher en allant trop vite. Il s’éloigna d’elle pour retourner à sa place d’origine. Il détourna son regard d’elle. Il lui fit un petit sourire nerveux. Il était probable qu’elle ait mal pris se que Charlie lui avait dit. Cette idée rendait Charlie anxieux de voir la réaction de Paige.

Lorsque avant je lui avais demandé si ca allait car il me semblait ailleurs, dans ses pensées, il hocha simplement la tête. Je ne préférai pas continué de resté sur ce que je voulais qu’il dise en le persécutant de questions. Même si je pouvais tout de même un peu mal le prendre qu’il ne me fasse pas confiance, je préférai tout nier de mes pensées, allant me changer comme si de rien était. Je portais à présent cette robe rouge. Je lui demandai comment il me trouvait dedans et il me répondit qu’elle m’allait très bien, mais que si je la portais pour la soirée il ne pourrait ce contenir. Je le regardai en laissant échapper un petit sourire à cette réflexion.

Je vois..Je devrais alors enfilé quelque chose de plus approprié pour que tu ne me saute pas dessus en pleine soirée, même si je dois l’admettre qu’elle me plaisait bien.

J’étais nez contre nez à lui, le regardant même si lui regardait le sol. Il se recula ensuite et alla s’asseoir ou il était tout a l’heure, et moi j’entrai de nouveau dans la cabine. Je me ré habilla et sortit quelques instants plus tard avec les deux robes a mon bras. Je posai la robe rouge avec les vêtements qu’on ne voulait pas prendre a la fin de nos essayages et garda la robe noire, me dirigeant vers lui.

C’est bon on peut y aller..Tu vois je n’ai pas était si longue que ca.

Je lui souris, et me dirigea vers la caisse pour payer la robe.

Paige avait tout à fait compris ce que Charlie avait voulu lui dire. Elle décida de prendre la première robe qu’elle avait essayée, la noire. Ils se dirigèrent vers la caisse. C’est là qu’il sortit sa carte American Expresse pour payer la tenue choisie par Paige. Elle lui fit remarquer qu’elle n’avait pas été si longue que ça. Charlie rétorqua avec gentillesse tout en entrant le code de sa carte dans le bancontact.
-Oui mais tu n’as pas encore tes chaussures et tes bijoux !
Il lui sourit. Il venait de lui donner le signe qu’il voulait vraiment lui offrir tout ce qu’elle voulait. Charlie regarda sa Rolex. Il était déjà 13 heures. Il commençait à avoir faim. Mais, il voulut se retenir pour que Paige choisisse le moment où ils iraient dans un restaurant.
-Il est déjà 13 heures, si t’à faim dis le moi on ira au resto et on continuera le shopping après.
Une fois que le payement fut effectué, Charlie rangea sa carte dans son portefeuille. Il prit le sac Channel ainsi que le Ralph Lauren dans une main. Ils repartirent mains dans la main. Soudain, le BlackBerry du jeune homme vibra dans sa poche. Il lâcha la main de Paige et les sacs pour le sortir de sa poche. Le portable continuait à vibrer dans sa main. Il affichait « Laurent ». Laurent était son père. Il ne l’appelait pas souvent. Cela devait être assez urgent. Il hésita à répondre. Mais pour finir, il décrocha le téléphone. Avant d’y répondre, il dit à Paige.
-Tu m’excuse une seconde, c’est mon père.
Il enfonça le petit téléphone vert et porta le téléphone à son oreille.
-Allo. Oui c’est moi.
« Alors Charlie. J’ai appris que tu avais remballé la fille des Kurt ! »
-Hein quoi ? Mais comment tu sais ça ?
« Je le sais c’est tout ! Mais dis moi tu es fou… Ils sont de très gros actionnaires dans nos hôtels. Si nous les perdons, je pense pas qu’on tiendra le coup.»
-Nous avons des problèmes ?
« Pas maintenant, mais si les Kurt nous lâchent, là on a un gros problème ! »
-Mais cette fille est pleine de boutons et en plus je suis avec quelqu'un…
« Enfin tu t’es trouvé une fille ! Tiens, quand tu iras à Londres amène là avec toi. »
-Mais Papa…
« Si la famille voit que tu es célibataire et que tu as remballé leur fille, ils risquent de nous causer du tord ! Je m’en fou qui t’amène, mais tu te ramène avec une fille ! »
-Laurent… Arrête ! Je ne peux pas… Ce n’est pas son genre !
« Alors je m’en fou, paye une fille pour qu’elle t’accompagne mais ne viens pas seul ! »
Il raccrocha avec rage.

Une fois a la caisse, je lui fis remarqué que je n’avais était si longue qu’il aurait pu le pensé. Il me répondit que c’était parce qu’on n’avait pas encore était cherché les chaussures et les bijoux. Je ris a cette réflexion car je n’y avais plus songé et qu’il est vrai que je suis assez longue pour choisir ses accessoires la.

T’as pas tord, mais bon les chaussures, je peux très bien prendre une paire des cinq-cents autres dans ma penderie.

Il est vrai que j’étais une vraie collectionneuse d’escarpins. A chaque fois que je repérée une paire qui me plaisait dans une vitrine, je ne pouvais m’empêcher de me l’offrir, même si je ne les porterais qu’une seule fois. Il regarda sa montre me disant qu’il était déjà 13 heures. Il me proposa d’aller mangé, ou bien de continué nos achats.

Je n’ai pas faim, mais on peut y aller si toi tu as faim.

Une fois qu’il eu payé, on sortit de la boutique. Il tenait les paquets dans l’une de ses mains, et me pris la main avec l’autre. On continua de marché dans le centre commercial, jusqu'à ce que son téléphone sonne. Il me lâcha la main pour pouvoir prendre son portable et je vis qu’il hésita a décroché voyant le nom de l’interlocuteur d’affiché. Il s’excusa ensuite me disant que c’était son père.

Ne t’en fait pas, ce n’est pas grave.

Je lui souris légèrement, et il décrocha son mobile. J’écoutais brièvement sa conversation. Il lui demanda si ils avaient des problèmes, puis après il parla d’une fille apparemment boutonneuse, puis il fit référence qu’il était avec quelqu’un. J’en déduis que son père avait peut être besoin de lui, mais que comme il était occupé à faire les boutiques avec moi, il ne voulait pas. Il raccrocha ensuite assez énervé. Je le regardai assez intriguée.

Euh tout va bien ?

La conversation que venait d’avoir Charlie avec son père l’avait beaucoup contrarié. Son père croyait donc qu’il avait touts droits sur Charlie et qu’il pouvait lui dicter des ordres sans que le jeune homme ait quelque chose à dire. Déjà qu’il n’avait pas envie d’aller à Londres pour l’ouverture du nouvelle hôtel, en plus il devrait payer une Pretty Girl ! Cela en était trop. Il aurait voulu demander à Paige de l’accompagner mais il ne voulait pas lui infliger cela. Il était tellement énervé. Pas seulement pour ça, mais pour toutes les fis où son père lui dictait tout ses faits et gestes. Comment osait-il faire ça ? Lui, le père coups de vents… Celui qui claquait la porte derrière lui à 3h00 du matin. Celui qui n’avait nullement soutenu sa femme pendant son cancer parce qu’il avait un contrat important pour la chaîne d’hôtels Dekker. Pour Charlie, c’était son père qui était responsable de la mort de sa mère. Elle se serait peut être lus battu pour vivre si il avait été là à ses côtés pour la soutenir pendant ces moments difficiles. Paige lui demanda si ça allait. Il avait vraiment besoin de se confier.
-Paige, allons au restaurant. J’ai…J’ai besoin de parler avec quelqu'un.
Il ramassa les sacs pour se diriger vers le Fire, un petit restaurant branché et moderne décoré avec des portraits des Rolling Stones ou de Marylin Monroe. Ils s’asseyaient à une table qui se trouvait juste à côté de la grande bée vitrée qui donnait sur la rue.

Il me paraissait assez bizarre depuis le fameux coup de file de son père. Je me demandé bien ce qu’il avait pu lui dire pour le mettre dans un état pareil, ou d’un sourire il passa a quelqu’un de soucieux. Je n’aimais pas tellement le voir comme ca. Quand je lui demandai si ca allait, il finit par me répondre qu’il voulait qu’on aille au restaurant et qu’il avait besoin de se confier a quelqu’un.

D’accord, pas de soucis.

Je lui souris légèrement et il reprit les sacs dans sa main. On se dirigea vers le Fire, ou l’on avait l’habitude de mangée lorsqu’on ce retrouvait tout les deux. Une fois entrée a l’intérieur, on alla s’asseoir a une table prés de la bée vitrée ou l’on pouvait voir les gens passaient dans la rue. Un serveur arriva et nous donna les menus. Je commençai a le regardais puis une fois que je choisis ce que je voulais, je reposai mais yeux sur lui.

Charlie, il s’est passé quoi tout à l’heure pour que ca te mette dans un état pareil ?

Le serveur arriva et pris nos commandes a ce moment. Puis il repartit quelques instants après. Je repris ensuite la parole.

Je sais qu’avec ton père ce n’est pas la joie tout les jours, mais je suis la tu sais si tu as besoin d’en parler..

Je le regardais toujours, et posa ma main sur la sienne qui se trouva sur la table.

Ils prirent la commande. Paige le rassura. Elle lui dit qu’elle était là et qu’il pouvait se confier à elle. Il devait tout lui expliquer. Mais, il n’avait pas envie que Paige refuse si il lui demandait de partir avec lui à Londres. Non, il ne voulait pas subir cela. Il ne se sentait pas prêt à subir son refus. Pourtant, lui il voulait l’emmener avec lui pour qu’elle le soutienne comme elle savait si bien faire… Il décida de ne pas dévoiler se que son père lui avait vraiment dit. Mais, il voulut lui dire à la place la difficile relation qu’il entretenait avec son paternel.
-Mon père attend beaucoup de moi. Quand je dis beaucoup, je n’exagère vraiment pas. Il me tient avec une laisse. Il ne pense pas que je puisse devenir adulte. C’est très compliqué avec lui… Je n’en plus !eu p
Tout ce qu’il lui dit était vrai, mais il avait simplement enlevé quelques passages. Il s’était abstenu de lui dire qu’il pensait que sa mère serait encore en vie si il n’avait pas été plus présent. Il regardait dans le vide. Les pensée se bousculaient dans sa tête.

Le serveur prit nos commandes puis il repartit. J’essayais de comprendre ce qui avait bien pu le mettre dans cette état la depuis le fameux coup de fil qu’il avait reçu. Je posai ma main sur la sienne, prête à l’écouter. Il commença à me raconter que son père attendait beaucoup de lui dans le domaine du travail. Il avait une dure relation avec son père qui ne le laissait jamais tranquille pour ca. Cette histoire me rappelé vaguement le fait que mon père lui aussi voulait que mon frère représente sa société plus tard. Et avec toute ces pressions, et les disputes répétés, Ryan finit par partir de la maison pour vivre sa vie comme il le souhaiter. J’étais attentive à ses paroles, puis lorsque je le vis partir dans ses pensées, je lui relevai légèrement le menton pour qu’il repose ses yeux sur moi.

Je comprends ce que tu veux dire.. Mais si tu ne veux pas reprendre ses affaires, parles-en avec lui. Ou du moins essaye de t’arranger avec ton père pour qu’il arrête de te mettre autant la pression.

Paige avait de très bon conseils. Elle lui conseilla d’en parler avec son père.
-Enfaite, je veux reprendre son affaire. Elle me permettra de devenir riche comme lui. C’est juste que j’en ai marre. Il ne me laisse aucune liberté je suis attaché à une chaîne. Je veux justement reprendre la chaîne d’hôtels pour lui prouver que je suis capable de faire quelque chose.
Enfaite, Charlie était changeant sur ce point de vue. Des fois, il avait envie de faire autre chose et des fois de reprendre l’entreprise familiale. Il commanda la meilleur bouteille de vin rouge et prit un délicieux plat de spaghetti. Ils eurent rapidement terminés leurs assiettes. Charlie appela alors le serveur pour lui demander l’addition.

Je l’écoutais toujours aussi attentivement. Ce qu’il voulait, c’était reprendre l’entreprise de son père, sans pour autant avoir l’impression d’être en permanence sous son contrôle.

Oui, je vois..Eh bien alors, il ne te reste plus qu’a lui prouvait de ce dont tu es capable et sans son aide.

Je lui souris, puis le serveur arriva avec nos plats. On mangea nos spaghettis accompagné de la bouteille de vin qu’il avait commandé. C’était délicieux. Puis une fois finis, le serveur arriva et Charlie paya l’addition. On sortit ensuite du restaurant, et on se retrouva de nouveau dans le centre commerciale prêt a retourner dans les galeries. Je le regardai en souriant, heureuse d’être seule avec lui. J’entremêlai mes doigts aux siens, et on se mit à marcher parmi les autres gens.

Tu veux allée ou maintenant ?